L’Eau vive, Sask. Il est là, impassible sur son poteau dans son épais manteau blanc. Le majestueux harfang des neiges est une des seules espèces d’oiseaux qui ferait déplacer mes amis non ornithologues. Une chronique d’Arthur Béague.

Le Voyageur, On. La dépression postpartum (DPP) est l’une des maladies mentales les plus courantes. Si elle affecte principalement les femmes à la suite d’une naissance, elle peut aussi affecter les pères, comme l’auteur David Daigle.

La Liberté, Man. Fondatrice et présidente de l’organisation Black Space Winnipeg, Alexa Potashnik se passionne pour la cause noire et les problèmes que rencontre cette communauté.

Francopresse. Après plus de 50 ans d’existence, l’Assemblée parlementaire de la Francophonie fait toujours la promotion de la culture française, mais s’adapte aux nouvelles réalités sociologiques et technologiques.

Francopresse. Enracinées dans l’histoire acadienne, les communautés francophones de l’Atlantique comptent leurs particularités tout en partageant de nombreuses similitudes. Et elles célèbrent toutes les Rendez-Vous de la Francophonie.

Acadie Nouvelle, NB. Zachary Richard, 1755, Les Méchants Maqueraux, Cayouche, Annie Blanchard et compagnie monteront sur scène à Moncton le 16 aout dans le cadre d’un mégaspectacle pour célébrer les 25 ans du Congrès mondial acadien.

Francopresse. Pour la 21e édition des Rendez-vous de la Francophonie, il y aura toute une kyrielle d’activités en Ontario. L’occasion idéale pour célébrer la francophonie et montrer qu’elle est tout autant diversifiée qu’inclusive.

Le Franco, Alb. À la Saint-Valentin, la communauté francophone albertaine a assisté à la naissance du Comité FrancoQueer de l’Ouest. L’organisme veut s’étendre dans tout l’Ouest canadien pour aider à la création d’espaces inclusifs.

Francopresse. Trois ans après la transformation du processus pour nommer ses membres, un Sénat moins partisan semble émerger. L’approche, qui vise à rétablir la crédibilité de l’institution, ne jouit d’aucune protection législative.

L’Orléanais, ON. Ce qui allait devenir le plus grand centre culturel franco-ontarien, le Mouvement d’implication francophone d’Orléans, a connu un début pour le moins anodin, il y a précisément 40 ans.