Ébranlés par la baisse de leurs revenus publicitaires et la chute des abonnements, les médias locaux et régionaux doivent désormais composer avec des annonceurs et un auditoire qui délaissent les canaux traditionnels pour privilégier le Web. Parties prenantes des communautés en situation minoritaire, leur pérennité est étroitement liée à la vitalité des francophones qu’ils représentent.
Pour François Bergeron, rédacteur en chef de L’Express de Toronto, la révolution numérique a complètement changé la donne. « Le Web nous donne l’opportunité de couvrir beaucoup plus de choses, car l’espace y est illimité ; c’est beaucoup plus enrichi, avec la possibilité d’avoir des vidéos et plus de photos ; enfin, c’est instantané, beaucoup plus réactif que le papier », détaille-t-il.
Ébranlés par la baisse de leurs revenus publicitaires et la chute des abonnements, les médias locaux et régionaux doivent désormais composer avec des annonceurs et un auditoire qui délaissent les canaux traditionnels pour privilégier le Web. Parties prenantes des communautés en situation minoritaire, leur pérennité est étroitement liée à la vitalité des francophones qu’ils représentent.
Pour François Bergeron, rédacteur en chef de L’Express de Toronto, la révolution numérique a complètement changé la donne. « Le Web nous donne l’opportunité de couvrir beaucoup plus de choses, car l’espace y est illimité ; c’est beaucoup plus enrichi, avec la possibilité d’avoir des vidéos et plus de photos ; enfin, c’est instantané, beaucoup plus réactif que le papier », détaille-t-il.